Dossiers OVNI - Secrets & Réalités (1998)

La Zone 51 est un site géographique du Nevada aux États-Unis, aussi appelé Groom Lake, Dreamland, où se trouve une base militaire top secrète, testant apparement des appareils expérimentaux, et très controversé… Elle est principalement connue sous son appellation anglaise Area 51, mais ne figure sur aucune carte. Pourtant des avions transportant de nombreuses personnes y atterrissent tous les jours, et des images sattelites montrent bien une activité, même discrète. Le milieu ufologique entre autre, la reprend fréquemment, suggérant des relations secrètes entre l’armée américaine et des extraterrestres… Certains témoins de ce documentaire qui ont travaillé sur la zone 51 ou S4, attestent de la présence d’extraterrestres et de vaisseaux…

Depuis des années, des chercheurs et ufologues soupçonnent que les gouvernements ont délibérément soustrait des informations sur le sujet OVNI. La déclassification de documents officiels dans plusieurs pays, révèlent que les OVNIs ont fait l’objet d’études secrètes dans les milieux scientifiques et militaires depuis les années 1940. Plusieurs agences gouvernementales comme la CIA, DIA ou la NSA, admettent que de nombreux documents « Top-Secret » sont toujours gardés secrets dans l’intérêt de la sécurité nationale. Selon certains, un changement de gouvernement pourrait être propice à la déclassification, mais cet optimisme se fonde seulement sur des précédents qui ont vu d’anciens présidents prendre des décisions favorables, comme par exemple le président Gerald Ford, qui exigea du Congrès une enquête suite à une importante vague d’OVNIs en 1966 dans le Michigan, puis Jimmy Carter, témoin d’une apparition d’OVNI le 6 janvier 1969 en Géorgie, qui avait promis de rendre public toutes les données détenues par le gouvernement… La déclassification n’eut pas lieu. Lors d’une interview en 2002, le scientifique Stanton Friedman, déclarait que la technologie des OVNIs est sans doute ce qui intéresse le plus les autorités : « Le premier pays qui saura reproduire la capacité d’atteindre des vitesses fantastiques et de faire du vol stationnaire, de virer à angle droit à des vitesses extrêmes, de monter et descendre, sans émettre le moindre bruit, tout en dissimulant son mode de propulsion, pourra dominer la planète ». Une enquête qui laisse penser que tout n’a pas été déclassifié en ce qui concerne les observation classées secret défense.

Le crash de l’OVNI de Roswell au Nouveau-Mexique en juillet 1947, est considéré par les ufologues comme la plus extraordinaire preuve tenue secrète de la présence d’une civilisation extraterrestre avancée, mais pour les sceptiques, c’est une hypothèse socio-psychologique d’un mythe moderne. L’affaire Roswell débute dans la nuit du 2 au 3 juillet 1947, lorsque des personnes observent dans le ciel un disque brillant. Ce cas en serait certainement resté là, mais le 4 juillet, un fermier de la région de Roswell, Mac Brazel, découvre dans son ranch les débris d’un engin. Intrigué, il prévient la base militaire de Roswell le 7juillet, quelques jours après sa découverte. Les militaires viendront rapidement chercher les débris. Pour info, Roswell était la seule base de l’armée à posseder une escadrille de bombardiers atomiques.

La grande vague du Mexique retrace cette période d’observation en masse du phénomène survenue au Mexique en 1992, deuxième année de la plus grande concentration d’OVNIs de l’histoire. Le phénomène a été vu par des milliers de personnes à Mexico, Puebla, Veracruz, et à Atlixco, petite ville de 100 000 habitants, où les médias locaux évaluèrent à 90 % le nombre de gens ayant vu des OVNIs. Miguel Angel Ordonez Rosales, maire d’Atlixco, fut le premier représentant du peuple mexicain à prendre position pour les OVNIs dans une conférence de presse nationale officielle. En 1992, il déclarait : ” Ni les militaires, ni le gouvernement ne se sentent menacés par ces visiteurs inconnus. Personne ne sait qui ils sont, et pourtant ils existent. Tout le monde est curieux “. Les mois suivants, le phénomène continua de se produire, et sera filmé comme jamais auparavant. Au début du mois de septembre, la station de télévision de Puebla, Super Chanel 3, est submergée d’appels téléphoniques annonçant qu’un OVNI stationne au-dessus de la ville. La télévision décide alors de stopper net tous ses programmes pour se concentrer sur l’évènement en direct. Les journalistes filment et commentent en direct. Cette vague sans précédent s’atténuera en 1993 avec quelques apparitions, comme celle qui eut lieu au printemps, où des milliers de personnes verront des OVNIs en si grande quantité, que la ville de Mexico fut presque entièrement bloquée. Les gens sortaient des voitures pour observer le phénomène…

Depuis la première abduction officiellement recensée du cas Betty et Barney Hill aux États-Unis, en 1961, des milliers de personnes, principalement aux États-Unis, ont prétendu avoir été enlevées par des extraterrestres. Cependant, aucune preuve scientifique n’a été apportée pour soutenir la réalité des enlèvements. Dans le système de classification de Allan Hynek, l’abduction est répertoriée en tant que « Rencontre Rapprochée du 4e type » (RR4). Les témoins prétendent souvent avoir subi un examen médical approfondi de la part des aliens, plus ou moins douloureux ou traumatisant selon les cas. Beaucoup d’entre eux affirment que ces êtres leur auraient mis un implant dans le cerveau, le nez… D’autres personnes prétendent que les extraterrestres les auraient enlevées pour leur faire part d’un message. En ufologie, ces témoins sont appelés des « contactés », pour les différencier des « ravis », victimes d’enlèvements. La concordance des témoignages, avec pour certains une grande inquiétude et pour d’autres une satisfaction, dont près d’un millier de cas aux États-Unis où le phénomène est étudié, tend à maintenir le doute au sein de la communauté ufologique.

Depuis plus de 50 ans, des mutilations animales ont été pratiquées sans que personne ne sachent quels étaient les responsables. Après un an d’enquête, ce documentaire tente d’avancer des pistes. Devant l’inexplicable, plusieurs hypothèses ont été avancées : animaux prédateurs, agissements d’une secte satanique, enlèvements d’origine extraterrestre puisque des OVNIs sont repérés à proximité, ou encore opération secrète de l’armée du fait que des hélicoptères non immatriculés évoluent souvent sur les lieux des mutilations. Les animaux sont retrouvés dans les champs, certains de leurs organes ayant été prélevés après une découpe avec un instrument tranchant ou au laser, les parties du corps mutilées parfaitement cicatrisées comme si elles avaient été cautérisées avec une précision incroyable.

Ce jour après minuit, un couple de fermiers du Nord-Ouest de Varginha , Augusta et Eurico Rodrigues, ont été réveillés par le bruit inhabituel de leurs animaux. Ils sont allés voir ce qu’il se passait, et en levant les yeux vers le ciel, ils aperçurent un OVNI silencieux et sans lumière en forme de sous-marin, tremblant et émettant de la fumée. Le couple alerte la police, qui elle-même contacte la police militaire… Le matin à 8 h, les pompiers reçoivent un appel téléphonique. Ils arrivent à 10 h, et découvrent une créature de 1m de haut accroupie, les yeux rouge sang, portant 3 bosses sur le front. Leur chef téléphone à une base militaire voisine. Son commandant, le général Sergio Coelho Lima, ordonne à ses troupes de boucler les abords du parc. Quatre pompiers parviennent à prendre la créature, mais à peine est-elle enfermée dans une caisse, qu’ils doivent la remettre aux militaires. Ce même jour à 15 h 30, Liliane Fatima Silva, 16 ans, sa soeur Valquiria, 14 ans, et leur amie Katia Andrade Xavier, 22 ans, rentrent de leur travail. Sur le chemin, elles découvrent une créature étrange, blottie contre un mur. Son aspect terrifie tant les jeunes filles, qu’elles poussent des cris de frayeur et s’enfuient. « Ce n’était ni animal, ni humain, c’était une chose horrible » dira Katia. Alertés par des habitants du quartier, les pompiers et les militaires arrivent sur place, et capturent la créature qui sera encagée avant de disparaître dans un camion de l’armée. Sur la foi de plusieurs coups de téléphone, l’Ubirijara Franco interviewe les 3 jeunes filles. Elles sont persuadées avoir rencontré le diable, car la créature portait 3 bosses sur le front et ressemblait à un démon.Plus tard vers 18h15, deux policiers militaires virent une créature semblable aux deux autres capturées le même jour. Le caporal Marco Eli Chereze qui a participé à la capture de la deuxième créature, s’en approche. Elle subissait de multiples fractures, et n’aurait fait aucun effort pour résister. Le caporal est lui même blessé par la capture matinale, alors ils se rendent dans une clinique rurale, cependant, le manque d’équipement convainc les policiers de la transporter dans un hôpital privé. Elle est restée 24 heures environ avant d’être transportée à l’Humanitas Hospital, où elle y serait décédée quelques jours plus tard…

Un cercle de culture ou crop circle en anglais, est un motif réalisé dans un champ de céréales par flexion des épis, dans le but de représenter diverses formes géométriques pouvant aller d’un simple cercle à des compositions complexes. Les agroglyphes sont apparus dans le sud de l’Angleterre au milieu des années 1970. Au fil du temps et des informations, les motifs sont devenus de plus en plus élaborés : messages verbaux, signes iconiques, dessins d’objets manufacturés… Les premiers agroglyphes connus ont été créés par deux fermiers du Wiltshire en Angleterre, Doug Bower et Dave Chorley. Dans la région d’Avebury, district de Marlborough, on peut entendre deux sons de cloche concernant ces personnages. Certains pensent que ces deux fermiers sortaient la nuit, munis de cordes et de planches, pour tracer ces étranges cercles dans les champs de blé, de lin ou de colza. Une autre partie de la population prétend que Doug Bower et Dave Chorley étaient seulement deux illuminés portés sur la boisson, revendiquant ces phénomènes comme leurs, sans pouvoir le prouver. L’un des principaux problèmes étant que leur méthode ne leur aurait pas permis de coucher les plantes les plus fragiles sans les briser. Or, l’une des caractéristiques des agroglyphes est justement qu’aucune tige n’est brisée. Plusieurs théories pour expliquer l’origine non humaine de ces agroglyphes ont été avancées depuis les années 1960. Toujours est-il que la quasi-totalité de ces agroglyphes sont comme des schémas faisant référence au domaine de l’électricité, de la mécanique ou bien de la physique/chimie, ou bien encore des trois combinés. Ils représentent des phénomènes connus ou bien partiellement connus, comme par exemple la production d’énergie lors de la dissolution d’une particule d’eau en deux atomes d’hydrogène et un d’oxygène, la production de micro-ondes ou bien encore l’influence du magnétisme dans divers domaines technologiques. De nombreux agroglyphes y font référence. Bien que certains affirment que l’origine des agroglyphes apparus est maintenant connue, d’autres continuent de mentionner de très nombreuses explications alternatives pour l’apparition des agroglyphes, comme des manifestations ufologiques ou des manifestations d’énergies.

Le 25 juillet 1976, au cours de sa 35e orbite, l’orbiteur Viking 1 survole Mars autour de 41° de latitude nord. C’est lors de ce passage qu’est pris le fameux cliché du visage de Mars. À l’époque, certains ont cru y déceler une structure artificielle. Depuis, de nouvelles photos du visage prises par la sonde Mars Global Surveyor avec une résolution bien supérieure, ont montré qu’il s’agit d’une colline érodée. Lorsqu’elle rend public cette image en 1976, la NASA prend bien soin de préciser qu’il s’agit d’un relief fortement érodé, sur lequel la lumière rasante d’une fin d’après-midi a projeté des ombres trompeuses. Mais l’explication ne convainc pas tout le monde. Dans la zone de Cydonia Mensae à proximité du visage, un peu plus au sud ouest, il y a une autre colline ressemblant à une pyramide à cinq faces, mise en évidence par Messieurs Di Pietro et Molenaar. La région de Cydonia a alors provoquée beaucoup d’intérêt de la part de ceux qui seraient tentés de penser qu’il existe ou a existé une civilisation martienne.

Réalisé avec des images d’archives autrefois classées top-secret, des clips amateurs tournés par les témoins, mais aussi des témoignages exclusifs des plus grands spécialistes qu’ils soient, scientifiques, ufologues ou militaires. Les copies de l’enregistrement, filmés dans l’espace au dessus de l’Australie occidentale depuis une caméra automatique située à l’arrière de la navette, sont envoyées avec une description détaillée de ce qui fut considéré comme 4 évènements anormaux, à divers enquêteurs incluant la NASA. Après enquête, la NASA déclare : » Les objets observés sont des débris issus d’orbiteurs éclairés par le Soleil. L’éclair de lumière est le résultat de l’allumage des moteurs d’attitude de l’orbiteur, et les déplacements brusques de particules résultent de l’impact des jets de gaz provenants des moteurs. » Le physicien Jack Kasher, de l’Université du Nebraska et collaborateur de la NASA, a étudié ces séquences plus en détails, et en a tiré un rapport de 105 pages. Avec des arguments, Jack Kasher apporte plusieurs preuves réfutant l’interprétation de la NASA. Il affirme que les phénomènes observés montrent bien des engins extraterrestres, et que ce ne sont ni des particules de glaces, ni des poussières, ni des météorites. Ses conclusions : » Selon la NASA, il s’agissait de cristaux de glace, ce qui est physiquement impossible, car les cristaux de glace ne pourraient pas changer de direction d’une telle manière. Nos calculs montrent que si les objets se situaient à 16 km de la navette, le plus gros a accéléré de 0 à 4023 km/h en 1 s. »

Au début, des archives déclassées du Gouvernement Soviétique sont présentées avec trois films de caméras de tir, pris à l’occasion de trois missions d’interceptions différentes de chasseurs MIG. Roger Moore commente que le film de l’armée de l’air soviétique a pu être obtenu par un groupe d’ufologues russes, déclassé par le Ministère de la Défense de l’URSS. On y voit deux objets ovales sombres fusionnant en l’air, un objet cylindrique se déplaçant à une vitesse incroyable, ainsi qu’un OVNI disparaissant derrière des nuages. Veniamin G.Vereschagin, auteur d’un livre sur les OVNIs en URSS, explique que de nombreux habitants de la région de Sverdlovsk ont vu des lumières survoler le village, et ont entendu une explosion le 27 novembre 1968. Ensuite, un film 16mm montre une soucoupe écrasée dans les bois près de Berezovsky, dans la région de Sverdlovsk en URSS le 27 novembre 1968. Le film n’aurait été pris que le 24 mars, après que des fermiers de la région aient trouvé d’étranges débris et contacté le KGB. Après la découverte, des troupes soviétiques auraient été appelées, et des cameramen du KGB auraient filmé l’activité des troupes. Les corps d’humanoïdes récupérés auraient été envoyés dans un lieu sûr de Moscou, et estampillés sous le label « le nain de Sverdlovsk ». S’ensuit le film d’une autopsie de cadavre humanoïde par 3 médecins, Gordeenko, Kamyshov et Savitsky, du Département Anatomique du 3ème Institut Médical de Semashko, à Moscou en Russie. Les producteurs du documentaire ne garantissent pas l’exactitude ou la véracité de la documentation, ou des éléments fournis par quelques sources… Vous serrez seul juge.

Depuis que le phénomène est connu un peu partout sur la planète, des témoignages dignes de foi de pilotes civils, militaires, ou d’astronautes, ainsi que de personnes du peuple saines d’esprit, une fois écarté les faux, confirment le phénomène OVNI. Chaque pays ou presque, à ses propres observations. Les interprétations faites lors de manifestations étranges, montrent que toutes ces observations ne sont pas forcement le fruit de l’imagination humaine. Certains cas célèbres tout comme d’autres, sont encore des énigmes non résolues à notre époque, même par les organismes de recherche tel que le GEIPAN en France, par exemple. On peut aussi se demander quels sont les interprétations laissées depuis l’antiquité à nos jours, représentées par des peintures, sculptures, tout comme dans les écris de diverses civilisations passées. La notion de preuve scientifique donne lieu à d’innombrables et interminables débats épistémologiques depuis des siècles. L’ufologie traite d’observations de phénomènes aériens dont on ne connaît pas la nature ni même la provenance, que la science n’arrive pas non plus à expliquer. Il est donc très difficile d’appliquer le mot de preuve. Seul le bon sens doit nous guider en la matière, mais hélas, il est variable selon les individus. Une preuve qui peut être « absolue » pour un croyant au phénomène, sera « insuffisante » pour un sceptique.Les États-Unis ont dépensé des millions de dollars pour créer des commissions chargées d’étudier les OVNIs, mais malgré une petite déclassification de certains dossiers, y compris en France et d’autres pays, aucune preuve scientifiquement parlant n’est ressortie. Certains peuvent penser qu’il s’agit d’expériences militaires top secrètes, mais personne ne peut affirmer que ces phénomènes étranges et inexpliqués ne viennent pas d’une autre civilisation que la nôtre.