Empreintes criminelles (2011)

Une ouvrière est découverte assassinée dans l'usine dans laquelle elle travaillait. Alors que la police suspecte un tueur en série surnommé «l'Etrangleur», le commissaire Blanchard décide de faire appel à l'inspecteur Valour pour tester ses techniques originales d'analyses scientifiques. Valour s'entoure de vieilles connaissances - son ami Marius, scientifique au sens large, et Léa Perlova, chimiste à l'Institut Pasteur - et de nouvelles recrues : Cassini, un agent de terrain, Pauline, une jeune femme médecin légiste, et Martello, un policier. Valour va-t-il réussir à bouleverser les méthodes de ses collègues et à arrêter le meurtrier ?

Valour, qui a réussi à convaincre Blanchard de l'utilité de sa démarche scientifique, dirige désormais son propre laboratoire. Pour l'éprouver, on lui confie deux affaires complexes : d'un côté, l'assassinat du prince Rosowsky dans son compartiment de l'Orient-Express, de l'autre, la découverte de quatre hommes morts dans une cave fermée de l'intérieur. Entre les normes sociales hostiles au travail des femmes et les méthodes policières classiques, qui laissent peu de place à la moindre analyse de preuves, le travail de l'unité de Valour ne va pas être de tout repos.

L'unité de Valour s'intéresse à toutes les classes sociales, avec les cas d'un physicien de renom assassiné dans une maison close en galante compagnie, et celui du corps d'un maréchal-ferrant couvert de contusions. L'unité va déployer tout son savoir-faire : photographie, hydrométrie, analyses d'empreintes digitales et balistiques. Mais en interne, l'ambiance n'est pas au beau fixe : Martello manque d'expérience, les femmes de l'équipe luttent pour se faire respecter, Valour et Cassini s'affrontent de façon systématique. Tout cela fragilise l'unité...

Valour doit venir en aide au commissaire Blanchard : alors que ce dernier répondait à une interview radio, l’animateur, assis à côté de lui, est mort sous les yeux de l’assistance sans que personne ne s’en aperçoive. Mort sans un bruit et les yeux ouverts. L’unité va devoir redoubler de talent pour résoudre ce mystère, mais sera encore une fois scindée, car dans le même temps un officier supérieur de l’armée est retrouvé mort, carbonisé dans sa voiture. Cette affaire va plonger notre équipe dans les règlements de comptes engendrés par la colonisation.

Le cadavre d’une femme est retrouvé dans une cellule de la Santé, qui est une prison pour homme ; et l’atelier d’un sculpteur réputé regorge de cadavres. La brigade scientifique est sur les dents, alors que les tensions se multiplient en son sien : Cassini menace Valour de dénoncer son addiction s’il ne l’aide pas à monter sa propre brigade. Du coup, Valour est de plus en plus tendu, et intransigeant avec son équipe qui est à bout ! La brigade va-t-elle réussir à rester légitime et efficace au sein du commissariat et aux yeux du commissaire Blanchard ?

Valour est introuvable depuis deux jours. Léa et Cassini partent à sa recherche en écumant les adresses des dealers de la capitale. Ils retrouvent sa trace parce qu’il est le suspect numéro 1 du meurtre du tenancier d’une fumerie d’opium. Tandis que Marius et Martello se chargent des affaires courantes, en l’occurrence le mystérieux assassinat de l’illusionniste Piccolo en pleine représentation, Léa et Cassini vont remuer ciel et terre pour faire innocenter Valour. Mais après cette affaire, l’unité scientifique va-t-elle pouvoir survivre ?