Jujutsu Kaisen (2020)

Élève de seconde, Yuji Itadori, véritable force de la nature, ne voit guère dans le surnaturel qu’un prétexte à fréquenter le club de spiritisme de son lycée, où il se sent bien et dont les activités lui permettent de rentrer pas trop tard. N’étant lui-même pas doté de pouvoirs occultes, il ne croit pas aux fantômes et ne prête qu’une oreille polie aux explications d’un inconnu qui lui réclame l’objet qu’il a dérobé dans une station météo. Selon son visiteur, il s’agit en réalité d’une relique extrêmement puissante qui a été placée là pour protéger son lycée contre des monstres…

Ayant volontairement avalé la relique maudite, Yuji va devoir faire face aux conséquences de ce coup de tête aussi téméraire que peu réfléchi, à savoir l’arrivée sur place d’un exorciste d’élite chargé de le tuer, mais aussi très curieux de le voir de près. Ce n’est pas tous les jours que quelqu’un parvient à mettre en échec le terrible démon Sukuna…

Megumi et Yuji accueillent leur unique camarade, que Gojo va immédiatement mettre à l'épreuve. Il craint en effet que, peu habituée à la sournoiserie des fléaux de la capitale, la jeune provinciale n’ait pas le grain de folie nécessaire pour oser les affronter.

Un fléau potentiellement de classe S a été repéré dans une prison pour mineurs. Yuji, Megumi et Nobara sont envoyés sur place pour essayer de retrouver des survivants, si tant est qu’il y en ait, et ordre leur est donné de ne surtout pas approcher le fléau lui-même. Malheureusement, ils ne vont pas avoir le choix…

Tandis que Nobara est conduite à l’hôpital, Megumi attend le retour de Yuji, qu’il a laissé aux prises avec le fléau de classe S. C’est pourtant quelqu’un de très différent qui va surgir tout à coup…

Yuji essaie de négocier avec Sukuna afin qu’il le ressuscite, mais le démon veut lui imposer certaines conditions. Megumi et Nobara, eux, s’entraînent avec les première, pendant qu’un serveur de restaurant a une sacrément bonne intuition…

En route pour un rendez-vous avec le proviseur, Gojo est attaqué par un fléau de classe S non répertorié. Le combat tourne vite à son avantage, son adversaire n’étant pas en mesure de le toucher. Ce que Gojo ignore, c’est que l’assaillant n’est pas venu seul…

Profitant de la réunion préparatoire au tournoi à venir, deux élèves de l’École d’exorcisme de Kyoto rendent une petite visite de courtoisie à Megumi et Nobara. C’est aussi l’occasion pour Gojo d’aller s’expliquer avec leur proviseur.

Après avoir fait la connaissance des élèves de Kyoto, revenons à Yuji, chargé par Gojo d’enquêter sur un curieux meurtre commis dans un cinéma. Cerise sur le gâteau, l’exorciste avec lequel il doit travailler s’est déjà fait son opinion sur lui, et elle n’est pas reluisante…

Après avoir fait la connaissance des élèves de Kyoto, revenons à Yuji, chargé par Gojo d’enquêter sur un curieux meurtre commis dans un cinéma. Cerise sur le gâteau, l’exorciste avec lequel il doit travailler s’est déjà fait son opinion sur lui, et elle n’est pas reluisante…

Mahito était prévenu, Nanami déteste faire des heures supplémentaires. Son affrontement avec Mahito lui donne cependant matière à réfléchir, et on ne peut pas dire que le résultat soit joyeux. Yuji dîne chez Junpei et sympathise avec lui. Parviendra-t-il à contrebalancer l’influence de Mahito et à chasser les ténèbres qui s’amoncellent dans l’âme de ce garçon tourmenté ?

Aveuglé par la colère et le chagrin, Junpei a laissé la noirceur qui l’habitait déjà le submerger, sans s’apercevoir qu’il ne fait que servir les intérêts de Mahito. De son côté, Yuji a été mis au courant de la situation et accourt pour tenter de l’aider. Le spectacle auquel il assiste va le méduser…

Sous le déluge des coups infligés par Yuji et Nanami, Mahito voit sa fin arriver. Il se décide donc à jouer une carte majeure, acquise depuis peu : l’Extension du territoire.

Enfin, ça y est ! Yuji va pouvoir faire son grand retour à l’occasion de l’Amicale, le tournoi opposant Tokyo et Kyoto ! Et Gojo, qui a réfléchi à la question, lui prépare une arrivée en fanfare. Mais on se rendra vite compte que l’Amicale porte, cette année, assez mal son nom…