Des crimes presque parfaits Season 7
Chaque épisode s’intéresse à une affaire judiciaire de l'histoire de France, du XIXe siècle et du début du XXe siècle.
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Épisode guide de Des crimes presque parfaits Saison 7
En 1900, la Côte d'Azur est une destination prisée de la haute société. Les têtes couronnées de toute l'Europe s'y retrouvent. Mais, en 1901, plusieurs jeunes femmes sont retrouvées égorgées. Entre Marseille et Monte-Carlo, la psychose s'empare de la population. La police piétine et Henri Vidal, un hôtelier habitant Hyères que la presse surnomme «le tueur de femmes», reste insaisissable. Il est arrêté, condamné à mort le 5 novembre 1902, puis gracié le 6 janvier 1903.
A Paris, au mois d'août 1920, monsieur Bassarabo est déclaré disparu par son chauffeur. Un enquêteur se rend au domicile de la victime. Là, la concierge révèle aux agents que l'épouse de monsieur Bassarabo et sa fille ont déménagé récemment une lourde malle. Ainsi débute une affaire qui va diviser l'opinion autour de la personnalité de l'épouse, Louise.
Immédiatement après la Seconde Guerre mondiale, une série de meurtre choque l'Aveyron : de 1946 à 1953, des fermes sont brûlées et leurs occupants retrouvés calcinés. Tous ont péri d'une blessure à la tête occasionnée par un outil agricole.
A la fin de l'année 1946, à Saint-Michel-en-Brenne, le garde-chasse d'un riche domaine disparaît. Le corps du garde, tué de plusieurs coups de fusil, sera finalement retrouvé dans un étang. Le meurtre est vite attribué à un groupe de chasseurs. Arrêtés, Gabriel Thiennot et Raymond Mis avouent les faits avant de se rétracter, déclarant avoir subi des tortures de la part des gendarmes.
Le 30 septembre 1913, dans la région nantaise, les Mabit, une famille de viticulteurs, ainsi que leur domestique de 15 ans ont été tués. Seul Pierre, 4 ans, a échappé au massacre. Marcel Redureau, un garçon de ferme de 14 ans, reste introuvable.
En 1922, après avoir tué un gendarme pour venir en aide à un ami injustement appréhendé, André Spada et deux compagnons prennent la fuite dans le maquis. Bien que l'affaire à l'origine des faits se soit arrangée entre-temps, Spada n'envisage jamais de se rendre. Il préfère tenir tête aux autorités en échappant toujours aux gendarmes.