Correspondance vidéo Season 1
Pendant plusieurs semaines, Stéphane Zagdanski à Maria de Medeiros entretiennent une correspondance sous forme de lettres vidéo qu'ils fabriquent eux-mêmes.
Regarder La Bande Annonce
Épisode guide de Correspondance vidéo Saison 1
Voilà, Maria conclut aujourd’hui cette correspondance avec Stéphane. Elle lui fait un ultime présent que nous vous laissons découvrir.
La correspondance entre Maria de Medeiros et Stéphane Zagdanski touche à sa fin. Pour sa dernière lettre, Stéphane est allé recueillir quelques images de la faune et la flore d’un parc parisien.
En réponse à la démence de ce monde, Maria nous offre l’infinie beauté de « la cathartique sagesse dansée des Gitans ».
Stéphane Zagdanski qui participait au colloque "Heidegger et “les juifs”", confie à Maria ses réflexions sur ce penseur qui le passionne, la question de son antisémitisme et ce que lui inspire les réactions du milieu "journalistico-philosophique".
Maria est aussi chanteuse. Elle est en tournée. Le temps d’une chanson, elle fait découvrir à Stéphane les coulisses de son concert.
Aujourd’hui, nous visitons la bibliothèque de Stéphane Zagdanski. "Faute d'images exotiques, je vous présente, donc, ma bibliothèque. Elle me suit dans mes pérégrinations depuis que j'ai vingt ans…"
Maria est toujours au Portugal. "Nous continuons notre voyage vers le sud et je ne résiste pas à une très courte escapade pour vous faire découvrir un événement qui me ravit et fascine au Portugal."
Pour faire écho à la lettre de Maria, Stéphane parle de "Capitaines d’avril", le film qu’elle a consacré à la révolution des œillets, et de son documentaire "Repare Bem", traçant l’histoire d’une famille brésilienne de militants antifascistes.
Maria est de passage dans son pays natal, le Portugal. "Ici, j'ai vécu dans mon enfance la plus extraordinaire des expériences démocratiques, la révolution des œillets."
À Paris aussi il est question de manifestations. Mais celles-ci inspirent à Stéphane des sentiments bien différents.
Nous achevons cette deuxième semaine de correspondance à Mexico, suivant Maria dans la rue, pour rejoindre le pas, si calme, de l’énorme manifestation contre la disparition des 43 étudiants à Iguala.
Revoici Nénette et avec elle, les considérations de Tchouang-tseu et Houei-tseu sur la joie des poissons.
Aujourd’hui dans la lettre de Maria, on croisera un âne, plusieurs chiens, des chats, un oiseau, un lapin, un poisson, des souris, des serpents… et quelques êtres humains.
Déjà la septième lettre. Nénette tourne dans son bocal et Stéphane Zagdanski, lui, pose un regard lucide sur le monde qui tourne autour de cet aquarium.
Debout dans le motoscafo qui lui fait traverser la lagune, Maria laisse errer son regard sur Venise et répond à Stéphane. "J'ai compris ce qui nous rapproche : la joie. L'incoercible joie d'être vivant." Et nous de la partager avec eux.
Dans cette première lettre, Stéphane Zagdanski se remémore sa première rencontre avec la comédienne Maria de Medeiros. "C'est une étrange et belle idée que deux inconnus correspondent" commence Stéphane Zagdanski.