Le prix de la liberté Season 1
Cette mini-série raconte l’histoire déchirante de deux demi-sœurs, élevées ensemble sur une plantation de canne à sucre : Sarah, la fille légitime blanche, et Mini-Mini, l’enfant d’esclave, dont le destin est indissociable de celui de sa sœur. Tandis que la ravissante Sarah songe à faire un bon mariage qui l’éloignera définitivement des terres familiales, Mini-Mini, elle, n’ose rien espérer de la vie. Certes, César, son amoureux, lui a bien promis de revenir pour acheter sa liberté, mais, en attendant, la jolie métisse ne peut que subir l’humeur changeante et souvent maussade de sa maîtresse… Pour les deux jeunes femmes, rien ne se passe comme prévu. Malgré sa réputation de plus belle fille de la colonie, Sarah ne parvient pas à épouser l’homme dont elle rêvait et sombre dans la dépression. Un temps seulement, car, au cours d’un séjour en ville, elle ne va pas tarder à jeter son dévolu sur le mari de sa belle-sœur…
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Épisode guide de Le prix de la liberté Saison 1
La dernière partie de mon histoire parle de moi, Mini-Mini. Moi qui ai appris à écrire. Moi qui dois ma vie à Masra Jacob ou à Masra Isaac; qui ont abusés d'une femme esclave, qui travaillait dans les champs. Une jeune fille encore très jeune - parce qu'ils pouvaient le faire - parce que c'était comme ça - parce que c'était une gentille fille - ma mère.
La troisième partie raconte l'histoire d'un mariage. Celui de Missie Sarah, qui a déjà 21 ans, et qui ne supporte pas de voir tout le monde heureux autour d'elle. Mon histoire parle aussi de fidélité - et de moi - qui croyais qu'en étant silencieuse et fidèle, tout finirait par s'arranger.
La deuxième partie de mon histoire raconte l'arrivée de Masra Rutger à Paramaribo. Il ne connaissait rien ni personne au Suriname. Cela se passe 5 mois avant son mariage avec Missie Elsa.
L'histoire commence dans une plantation; la propriété Berseba, une plantation de canne à sucre. Un travail très dur. Je suis la fille d'une jeune esclave, qui avait 14 ans à ma naissance. Elle s'appelait Koasiba.