Bonnes nouvelles de la planète Season 1
L’activité humaine, aujourd’hui redoutablement destructrice, pourrait-elle s’avérer conciliable avec la préservation de notre environnement ? D’un continent à l’autre, entrepreneurs, scientifiques et écologistes passionnés œuvrent à une exploitation vertueuse des ressources. Un engagement bénéfique non seulement pour la nature mais aussi pour les communautés humaines.
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Épisode guide de Bonnes nouvelles de la planète Saison 1
Chaque jour, environ 150 espèces animales et végétales disparaissent de la surface de la planète. Mais les initiatives de protection des animaux menacés fleurissent partout et permettent même à des espèces presque éteintes de faire leur retour.
Au moyen de prix bas et de collections renouvelées, la fast fashion attire de nombreux consommateurs. Pour encourager le changement de mentalité qui s'amorce, activistes et entrepreneurs explorent des voies plus respectueuses de l'environnement.
Ces dernières décennies, de nombreux habitats ont disparu dans le monde. Pourtant, des mesures simples pourraient avoir un grand impact pour préserver les zones de biodiversité telles que les marais, les landes et les prairies.
Plus de la moitié de la population mondiale vit dans des villes, entraînant une hausse de la consommation d'énergie et une bétonisation grandissante. Plusieurs initiatives originales contribuent cependant à rendre les cités plus vertes.
Réduite ou détruite par l'activité humaine, qu'il s'agisse d'agriculture, d'extraction de matières premières ou d'enfouissement des déchets, la nature sauvage recule partout. Cependant, ses défenseurs rivalisent d'inventivité pour la protéger.
En République du Congo, une entreprise forestière s’est engagée dans la gestion durable des ressources pour sauvegarder les forêts humides et les gorilles qui y vivent. Dans les Alpes, l’agriculture, et notamment les pâturages, contribuent depuis des siècles à maintenir – et même à enrichir – la biodiversité locale. En Équateur, les paysans profitent de fortes retombées touristiques depuis qu’ils protègent les ours à lunettes, prédateurs de leurs troupeaux, au lieu de les chasser. Enfin, au bord de la mer Baltique, un ornithologue passionné s’emploie à faire revenir les oiseaux.