Sale temps pour la planète Season 1
Portraits d'hommes et de femmes qui, sur tous les continents, luttent pour sauver la planète du désastre annoncé.
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Épisode guide de Sale temps pour la planète Saison 1
Selon les experts, d'ici 2050, les îles Tuvalu, en Polynésie, auront disparu sous les flots. A chaque grande marée, l'île se fragilise un peu plus et les dégâts se multiplient. Inondé cinq mois par an, l'atoll se dépeuple et l'exil semble inéluctable. Un millier d'habitants sont déjà partis se réfugier en Nouvelle-Zélande, aux Fidji ou en Polynésie française, mais certains Tuvaliens refusent de quitter la terre de leurs ancêtres et tentent de préserver leur culture. Ainsi, tous les moyens sont bons pour parer à la menace : de la construction de digues aux cours d'écologie, en passant par la création d'un centre de formation aux énergies renouvelables. L'archipel pourrait ainsi servir de modèle de lutte contre le réchauffement climatique. Mais cette mobilisation demeure toutefois insuffisante pour enrayer le processus.
Mardi 14 février 2006. Il pleut à Shishmaref. Température extérieure, 2°. Tout serait normal si nous n’étions pas en Alaska au cœur de l’hiver. « À cette époque, il neige et fait entre -23 et -30 degrés », déplore Tony Weyiouanna, un habitant de Shishmaref, ce village septentrional devenu tristement célèbre car il aura bientôt disparu, victime du réchauffement climatique.Série de quatre films documentaires qui sont le premier volet d’une de la série « Sale temps pour la planète »
Alourdie par ses passagers, la pirogue de bois frotte sur le fond de l’eau. Avec énergie, le piroguier aidé de quelques villageois, les pieds dans la vase, s’arc-boute pour pousser le bateau. Enfin, après plusieurs tentatives, l’embarcation bouge. Et vogue la galère sur cette vaste mare, peuplée de plantes aquatiques, de fleurs jaunes et violettes. Au bout d’un long passage bordé d’herbes et de branches de canne à sucre s’ouvre une large et paisible étendue d’eau. Bienvenue sur le lac Tchad.Série de quatre films documentaires qui sont le premier volet d’une de la série « Sale temps pour la planète »
Quand on évoque les Maldives, on pense plus aux plages de sable fin qu’aux rues étouffantes de la capitale Malé. Deux kilomètres carrés pour 90 000 habitants, une île surpeuplée au bord de l’asphyxie. Mais pas facile de trouver de nouvelles terres lorsqu’il n’y a que la mer ...Série de quatre films documentaires qui sont le premier volet d’une de la série « Sale temps pour la planète »